Tant grande douleur vint des gestes pâles
du timbre du verbe illusoire aux soirs.
Tant cruelle étreinte vint de tes mains pâles,
l'âge du mirage
des caresses des soirs.
Abandonnée dans ta foule
toute fléchissante en ta dureté,
La neige de l'immanent hiver, à ton coeur qui
croule
émanait de langueur des roses-thé.
Ah si nous savons se déchirer demain laisse
le sommeil s'imposer de tes mains, fuyons la peur
de neige aux pupilles solaires boucliers
lucescents de ta face nécessaire.
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